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Le printemps est une période cruciale pour les éleveurs. Avec le retour des beaux jours et la mise à l'herbe, les animaux sont exposés à un risque accru de parasitisme. Pour assurer la santé et le bien-être de votre troupeau, il est essentiel d'adopter une stratégie de gestion proactive. Gérer le parasitisme, c’est gérer l’équilibre entre hôte et parasite. Compte tenu des résistances que les parasites développent face aux traitements allopathiques, la maîtrise du parasitisme en élevage nécessite de diminuer les traitements et surtout mieux les cibler afin de développer l’immunité du troupeau et donc la résilience des animaux face aux parasites.
Mettez en place un système de pâturage tournant, alternez les périodes de fauche et de pâturage.
Privilégiez les animaux qui disposent d'une résilience naturelle face au parasitisme.
Renforcez les défenses naturelles de vos animaux de façon constante pour une première défense face aux parasites.
Identifiez les types de parasites présents dans votre exploitation en observant leur cycle de vie et développement.
Utilisez les aliments complémentaires à bon escient pour rendre les animaux moins vulnérables aux parasites.
La coproscopie est la méthode la plus couramment utilisée pour diagnostiquer la présence de parasites internes et orienter au mieux le choix des méthodes à employer.
Il faut toutefois prendre en compte qu'un niveau d’excrétion ne traduit pas forcément le niveau d’infestation d’un animal : celui-ci dépend du type de parasite et de son cycle de développement, de la date de prélèvement coprologique, du climat, du statut immunitaire du troupeau, de l’âge des animaux.
Il est conseillé de réaliser au moins deux coproscopies par an (une au printemps et une à l’automne) et important de croiser l’état général de ses animaux avec les résultats.
Pour le ténia, la petite douve et le paramphistome : seule la présence ou non du parasite est à prendre en compte dans l’analyse.
Pour les strongles digestifs ainsi que pour la coccidiose : demandez un comptage des œufs.
Pour les strongles respiratoires : demandez un comptage larvaire par la méthode de Baermann.
Les produits proposés vont aider à prévenir et gérer un parasitisme modéré, sans altération de l’état général des animaux, sur les parasites du tube digestif (strongles digestifs, paramphistomes, coccidies) mais ils n’auront pas d’impact sur les strongles respiratoires ni la petite et grande douve.
Proposés sous différentes formes, ils sont à utiliser soit en préventif sur des animaux « sains », soit dans les cas d’infestation modérée
À mettre en début de saison de pâturage en libre service
À incorporer dans l'alimentation ou en libre service mélangé à du sel marin
À donner individuellement en drogage ou dans l'eau de boisson
Mélange de minéraux, oligoéléments et de plantes.
Sous forme de bloc en incorporant de l’eau tiède.
12,5kg
Bassine à lécher prête à l’emploi.
18kg
Sous forme de bloc en incorporant de l’eau tiède.
3kg - 12,5kg
Mélange de matières premières naturelles, de poudres de plantes et de substances aromatiques.
B14B3 et B14PR3 : formules avec de l'ail en plus.
Pour les bovins, ovins et caprins : à donner directement en droguage.
B02B3 et B14PR3 : formule avec de l'ail. Réservé aux animaux de plus de 1 an et éviter sur des individus trop faibles.
Pour les volailles et lapins, à diluer dans l'eau de boisson.